Samedi 10 Juillet - Vienne (Autriche)

 

Le gros rdv de Titi dans son épopée 2021 de l'Ultra cycling en mode Bikepacking.

https://www.adventurebikeracing.com/threepeaksbikerace/

 

Départ de Vienne en Autriche pour finalement arriver à Barcelonne en Espagne et tout ça en moins de 12 jours soit au moins 2450km à parcourir.

Pour corser le tout, 3 contrôles obligatoires au sommet de col à + de 2000m et, entre, à lui de choisir le parcours le mieux adapté à son profil !!!

Mangart Pass en slovénie

Grosse scheidegg – männlichen en Suisse

Col du Tourmalet en France dans les pyrénées.

et le finish à Montserrat à Barcelone !!!

 

En 2019 il avait bouclé le parcours en moins de 08 jours sur un autre tracé... 

A lui de renouveler l'exploit !

Avec ce qu'il a fait jusqu'à maintenant, il doit-être prêt pour nous en mettre plein les yeux !!!!

 

Force et courage il a fallu à notre sanglier de l'ECF, increvable et inarrêtable... Sauf lors d'ennuis mécaniques !!!!

 

Voici son compte rendu :

"Encore une 3 pics,je prends un abonnement pour les départs de Vienne. Cette année aussi, je m'y recolle , l'arrivée est à Barcelone.

Samedi 10


Le départ est donné Covid oblige part vagues tous les quarts d'heure , il y en a 4, je suis dans la dernière celle de 12h45.
Il fait beau et chaud, pour sortir de Vienne, j'ai pris la trace proposé par l'organisation.
Direction la Slovénie et le Mangart saddle avec une trace obligatoire, je me retrouve rapidement seule comme j'aime sur ce type d'épreuve.
Ma trace suis une vallée, qui me conduit au premier col de mon parcours,peu après un concurrent ,que je connais bien me rejoint , il a un problème avec son Garmin, nous dînerons et ferons route ensemble jusqu'à ce que nos trace ce sépare . Dans le deuxième col que j'entame la nuit est déjà bien avancée ,un gros coup de moue m'oblige à bivouaquer dans la forêt en bord de route.


Dimanche


Au matin je prendrai une collation dans une station service,il y en a plein en Autriche qui font de l'alimentation, aussi la présence en nombre de surface alimentaire est impressionnant,pour les ravitaillements c'est super.
Villach marque le bout de l'Autriche avec le Wuffenpass comme frontière ,la Slovénie est derrière . Alors ce col n'est pas bien long,il fait 5km avec des pourcentages... je ne vous dit que ça,le premier panneau annonce 18% sur 3km500 , autant vous dire tout de suite j'en ai monté une bonne partie à pied,mon Garmin a même affiché 21%.
Une descente rapide et à kranjska Gora on remet le couvert avec la trace obligatoire qui passe par le Vrsicpass , jusqu'à 13%, dur mais ça monte.
Une belle ondée va m'accompagner dans la descente heureusement elle ne sera que passagère,je suis la vallée pour approcher le premier contrôle au sommet du  Mangart où je poserai le pied plusieurs fois,je ne suis pas bien et finis à l'arrache.
Je m'arrête dans un hôtel ,il faut que je récupère une bonne nuit ne peut pas faire de mal.


Lundi


Départ 6h avec petit déjeuner dans un sac, préparé par la responsable.
Après Bovec un premier petit col puis un deuxième pour passer en Italie, un arrêt café et viennoiseries à l'italienne.
La Vénétie est plate,je peux rouler,il fait chaud mais j'avance. Comme l'Autriche, l'Italie est bien fourni en surface alimentaire, ainsi que les stations services , pratique pour ce ravitailler.
Au porte de Vérone ,je m'arrête dîner avant la nuit, pour finalement y passer la nuit.


Mardi


Départ 4h, puis au bout de 6km faire demi-tour parce que j'ai oublié mes bidons dans le réfrigérateur de la chambre.
Je longe la partie sud du lac de garde , je passe Bergame et direction Côme, peu avant celle-ci les grimpettes recommencent.
Côme enfin et la frontière Suisse qui suit pour aller chercher le deuxième Pic, un peu avant Lugano le vent se lève et les nuages s'accumulent, la température se rafraîchit, la pluie n'est plus très loin et la journée est bien avancée.
Je m'arrête à Bellinzone pour faire le point et voir les hébergements un peu plus haut pour me mettre à l'abri,sur ma gauche il y a un hôtel qui n'avait pas attiré mon attention, le temps de demander une chambre ,la pluie c'est transformé en  déluge et avec un vent tempétueux,ouf! Je suis à l'abri.


Mercredi


Départ 3h pour une grosse journée montagne,la pluie c'est calmée, mais elle reprend quelques kilomètres après mon départ, heureusement elle ne durera pas. A Airolo le premier col de la journée (le Nuffenenpass il est fermé comme le saint Gothard ,avec ce qui est tombé cette nuit pas étonnant,les services techniques Suisse on du pain sur la planche) les hauteurs sont saupoudré de blanc, il n'y a pas de circulation la route est que pour nous, quelques concurrents me double,au col heureusement la route est dégagé et praticable malgré les 15 cm de neige qui sont tombés dans la nuit(un automobiliste en fait les frais,le véhicule est abandonnée sur le côté de la chaussée ),la descente est humide avec la fonte de la neige,je reste prudent.
Petite transition et le Grimselpass arrive une vieille connaissance,par l'autre versant,il ne sera qu'une formalité.
La suite est un peu plus ardue,la descente du Grimselpass effectuée, une nouvelle difficultés se présente, qui elle fait partie de la trace obligatoire pour valider le Pic2. Le Grosse Scheidegg est une montée qui n'en finit pas, avec par moment des pourcentages qui décoiffent,je finis par basculer pour descendre sur Grindelwald,pour entamer l'ascension. Mannlinchen est notre deuxième Pic,le sommet de la station avec une vue imprenable sur Wengen. Il pleut part moment dans la montée, ma moitié m'incite à réserver un hébergement à Grindelwald, ce qu'elle fait, bien heureusement,la descente s'effectue sous une pluie battante, avant de rejoindre mon hébergement,je m'arrête dîner,je dégouline!


Jeudi


Je voulais partir à 4h, mais il pleut fort au réveil, comme le petit déjeuner est payé,je dors 3h de plus.
A 7h45,je reprends la route ,a Interlaken,je longe un lac sur une piste cyclable,ma chaîne saute sur le pignon,je change de rapport ça va mieux , pas pour longtemps,je m'arrête pour regarder, la cassette bouge, en regardant de de plus près,ce n'est pas cassette qui est desserré mais le corps de roue libre qui bouge,le roulement extérieur a lâché, je sais que c'est fini. Je fais le tour des magasins de vélos mais il n'y a rien à faire, sauf changer les roulements.

Encore un voyage que je ne termine pas !"

 

 

Dimanche 13 Juin - Brest - Landerneau (29)

FX écrit :

"Pour vous informer que j’ai été retenu pour faire la reconnaissance de l’étape du TDF (Brest – Landernau) avec l’équipe ARKEA.

A priori ils ont un peu allongé le parcours pour le passer à 207 Km et un peu plus de 3000 D+

Je vais devoir le faire en moins de 7H (caché dans les roues).

Ca devrait être une belle expérience si j’arrive à suivre."

 

Un rendez-vous exceptionnel qu'a vécu FX avec un temps très chaud ! Quelle chance !!!! 

 

Son Compte rendu : 

"Hôtel IBIS STYLE de Brest payé pour 2 nuits par ARKEA.

Arrivée samedi soir.

Départ le lendemain matin à 6H50 par navette pour le point de départ (6Km plus loin au siège ARKEA).

Bus ARKEA, stand ARKEA avec les vélos du team (et prêt des vélos de la saison 2020 pour ceux qui sont venus sans vélo), mécanos, ravito et vérification des inscriptions avec remise du maillot et des bidons.

Je m’étais inscrit pour faire le parcours à une vitesse moyenne de 28km/H. Mais l’organisation a dû opérer quelques changements de dernière minute, la majorité des participants souhaitant le faire à 30 ou plus.

Quand je vois les clients qui se préparent pour les groupes 30-32 Km/h je préfère passer dans le groupe 26 Km/h, d’autant plus que la météo annonce 29° à l’ombre ce qui est carrément exceptionnel pour la région.

Présentations de quelques pros, mais pas de Barguil ou Quintana. Ma culture des coureurs cyclistes étant assez limitée je ne me souviens que du nom de Maxime BOUET et d’un colombien si j’ai bien compris. Je comprends qu’ils vont rouler avec le premier groupe.

On démarre après le départ du groupe précédent encadrés par 4 motards, une voiture mécano ARKEA, une voiture balais et un camion de la crois rouge.

Un cycliste ARKEA (coureur amateur) est chargé de faire le tempo pour maintenir la vitesse moyenne de 26km/h.

Le parcours s’enchaine du type cyclo ardennaise avec succession non stop de montées et descentes. Au menu quelques belles saloperies avec des pourcentages belges entre 12 et 18%.

Le groupe joue la gestion, et comme j’ai les jambes l’encadrant me dit de me faire « plaisir » dans les bosses et de ralentir ensuite en attendant le regroupement.

L’ambiance est vraiment top avec des coureuses et coureurs tous très sympathiques.

Premier ravito à Quimper après 90km.

On repart pour le second ravito au Km 142.

Il fait chaud, trop chaud et le soleil brûle les bras, jambes, visage et nuque. Je suis rouge comme un homard.

Après le second ravito on attaque la partie avec le plus de D+. De longues montées entre 4 et 6% avec juste quelques petits vacheries de temps en temps. Un vrai régal.

Certains vont souffrir de la chaleur et finir dans la voiture balais (cramés, mauvaise hydratation, saignement de nez,…)

Et on récupère ceux du groupe précédent qui ont explosé. Certains sont totalement vidés, impressionnant !

Faire du vélo encadrés par 4 motards est d’un confort et d’une sécurité incroyable.

On termine par leur fameuse « fausse aux loups ». Une montée du type mur de Huy qui surprend quand on n’est pas du coin vu qu’elle démarre en ville après un virage à 90° à droite. Une saloperie avec des passages à 15%. Dur dur au bout de 200 km/h ce genre de gag.

Arrivée sous l’arche ARKEA. Boissons à volonté, food truck pour se ravitailler, papotage et accueil, bref que du bon pour finir cette belle étape .

On nous ramène en bus sur l’hôtel de Brest.

Sortie le soir pour ceux qui restent, pour ma part je rentre à Bénodet chez mes parents.

Bilan, super journée, très belle organisation, la possibilité de faire l’étape en mode VIP et la rencontre de cyclistes très sympathiques.

 

Je pense que j’aurais pu tenir une moyenne de 29, peut être 30 (mais rien de sûr vu la météo). Mais aucun regret, je préfère prendre du plaisir dans une bonne ambiance à 27km/h plutôt que d’exploser à 30 et ne pas profiter de la sortie."

Du Samedi 26 au Dimanche 27 Juin - Bourgoin-Jallieu (69)

http://www.lyonmtblanc.com/

Randonnée de 2 jour organisée par le CT Lyon est toujours très bien organisé, étaient présents François et JC pour engranger des km et du dénivelé.

 

Parcours aller

 

  • Distance : 210 km
  • Dénivelé : 4050 m
  • Difficultés : col du Sapenay, col de la Forclaz de Montmin et la côte d’Héry
  • Ravitaillements : Yenne, Chapeiry et Vésonne
  • Parcours visible sur Openrunner – référence n°12318757

Parcours retour

 

  • Distance : 198 km
  • Dénivelé : 3000 m
  • Difficultés : col des Saisies et col de l’Épine
  • Ravitaillements : Qeige, Les Marches et Saint-Genix-sur-Guiers
  • Parcours visible sur Openrunner – référence n°12321604

Les traces Strava avec photos :

 

François :

aller : https://www.strava.com/activities/5541356345

Retour : https://www.strava.com/activities/5541356264

JC :

Aller : https://www.strava.com/activities/5532265324

Retour : https://www.strava.com/activities/5537791385

 

Et voici les comptes rendus :

 

François : "En complément du CR de XX je dois dire que pour ma part le périple n'a pas été de tout repos... Aux premiers km, vers 36-38 km/h j'ai senti que ça allait être compliqué... Les premières bosses se passent pas trop mal. Pendant que XX et JC partaient dans les lacets j'essaye de doubler quelques vieux débris.

Ensuite il y a eu le col de la Forclaz, 13km qui démarrent tranquille mais qui finissent durement. En passant le col, comme disent les financiers, j'avais bien entamé mon capital.... Restait la longue remontée d'Ugine à Megève, une vingtaine de km. J'ai fini comme j'ai pu, en rattrapant tout de même un pauvre cycliste, complètement à l'arrêt, qui se plaignait d'avoir des crampes. Moi j'avais mal aux pieds et mal au cul... Chacun son problème.

Le lendemain on est partis dans les alpages sous le soleil, pour le col des saisies. Super sympa. Comme d'hab JC et XX s'envolent dans les lacets et moi derrière, à mon rythme, selon les consignes.

Je retrouve tout le monde au point de ravitaillement.

La suite se passe, moins sympa qu'à l'aller mais sur un bon rythme. Arrive le col de l'épine. Je commence à accuser le coup. Plus de jambes. Mal aux pieds, mal au cul, et mal au ventre maintenant.... J'ai la chiasse...

La fin est plus laborieuse, JC me récupère après chaque bosse pour me ramener dans le petit groupe qui file à bonne allure sur les derniers km du retour. On passe la ligne d'arrivée vers 15h30.

A la fin, comment dire... Content d'être arrivé ! Mais très heureux de ce super weekend."

 

JC : "Pour compléter mes camarades de route, que je remercie d'avoir diffusé leurs impressions en 1er, voici les miennes.

Concernant la météo, pas de différence, grand ciel bleu à l'allée et légèrement couvert sur la fin au retour ce qui était une excellente chose !

Un départ rapide, plus tôt que d'habitude, 07H30, mais fidèle à l'esprit ECF, les derniers !!!

Belles parties de manivelles jusqu'à la 1ère bosse avec reprise de plusieurs groupes donc le club de l'organisation qui appuie démesurément sur les pédales. Alors le 1er col venu... Les concernant, c'est inverse proportionnel... XX est en grande forme et quand il faut que ça roule il appuie le bougre. Et François participe également. 1ère heure 33km/h de moy. Quand ça grimpe François gère à sa main et jamais très loin. XX aucun pb et heureux comme un poisson dans l'eau avec son compteur ultra connecté. Steve Austin est né !!!

1er vrai col du Sapenay il commence à faire chaud. XX grimpe bien et François gère un peu plus loin.

Comme l'a dit XX, Annecy et le tour de son lac rien à envier aux trafics Parisien... C'est la cata...

2ème vrai col de la journée, Col de la Forclaz difficile surtout par ses forts pourcentages rendus compliqués par la forte chaleur et par la faible vitesse ascensionnelle. En haut je suis liquide, XX livide. On décide d'aller au ravito et attendre François. Mais celui-ci nous reprend très rapidement dans la descente. Costaud parce que ce col n'était pas facile !!!

3ème et dernier vrai col de la journée, cold d'Héry via Ugine. Spécial souvenir de 2019 ou nous avions descendu ce col et ou Pascalou avait fait forte impression lors de sa séance de cascadeur en descente à freiner avec ses pieds à cause de son défaut de frein... Grand moment !!!

Bis repetita, on décide d'aller directement à l'arrivée sans attendre François qui, de toute façon, gère à sa main. J'annonce à XX que nous sommes presque arrivé et plus de grosses difficultés, que du faux plat. Lui étant ultra connecté il voit des complications sur son compteur alors que... Bref, le retour sera fait rapidement même si de Megève à Combloux ça m'a paru long et casse pattes... Je ne me rappelai pas pourtant c'est la 3ème fois...

Sous l'arche d'arrivée, nous sommes les 6 et 7ème sur seulement une 60ène d'inscrits cette année. L'organisateur est à perte mais ça ne l'empêche pas de nous chouchouter. Excellente organisation avec des bénévoles souriants et ultras sympathiques comme toujours.

François arrive plusieurs 10ène de minutes après nous, avec une erreur de parcours juste à la fin, fatigué avec beaucoup de trace de sel sur son maillot. Bref, la journée c'est bien passée place à la récupération !

La chambré est commune pour nous 3. Repas de bonne heure à la cantine de l'établissement avec discussion avec 2 gars du club de Lyon habitués à cette épreuve et qui roulent bien. 

Petites discussions face au Mt Blanc et on en apprend plus sur François et je comprends maintenant pourquoi il gère si bien l'épreuve. Le bonhomme a vécu des choses extras ordinaires dans ces montagnes et le dur il connait !!! C'est dans ces moment là qu'on apprend à mieux se connaitre et c'est pour ça que j'encourage chacun de nous à vivre ces moments de grandes richesses.

Couché 22h00-22h30 pour se lever aux aurores et un départ prévu à 07h00 pour tenter d'éviter les grosses chaleurs et surtout les orages annoncés. On s'y tient et cette fois si nous ne sommes pas les derniers !!!

Belle mise en jambe par la grosse difficulté du jour qu'est le col des Saisies que je connais bien d'un côté comme de l'autre. XX me colle, me dépasse, le nez au compteur avec l'impression qu'il ne profite pas du paysage et François est un peu à la traine derrière. Pas d'inquiétude.

En haut XX trace et je décide d'attendre François mais le temps défile, je ne vois rien venir et je commence à prendre froid donc je descend à mon tour. Regroupement au ravito. Nous sommes 8, les 1er de la journée.

La suite emprunte les coups de culs dans l'autre sens que nous avions emprunté lors de l'étape du signal de Bisane avant celui-ci. Dur dur. 

La longue portion plate nous la ferons avec XX en relais sans aucune aide de derrière et pourtant il y avait un gars costaud de Lyon... Alors qu'il s'envole ensuite dès que ça s'élève ne surprend personne.

Le col de l'épine difficile de se mettre dans le rythme, il fait chaud et XX a toujours la pêche et prend quelques longueurs d'avance. Perso il me faudra atteindre un peu d'altitude pour pouvoir prendre mon rythme et atteindre mon rendement optimal du moment. En haut j'attend XX qui arrive rapidement. Je suis un peu embêté pour François qui doit-être assez loin et on décide d'aller directement au ravito mais il y a presque 20km... Dont une courte montée... Il ne doit pas être seul donc...

Dernier ravito, l'attente est assez longue mais il arrive enfin fatigué. XX est en grande forme !

Le reste, sera une formalité même si ce n'est pas plat et plutôt casses pattes sauf les 20 derniers km que nous ferons très rapidement.

XX c'était très très bien préparé à l'épreuve et il m'a agréablement impressionné. La marmotte c'est dans ses cordes même si le contexte sera différent. Je sais qu'il peut faire cette épreuve. Il ne faudra pas s'enflammer cependant...

François a été costaud du début à la fin parce qu'on ne l'aura pas ménagé lors des phases de récupération sur le plat.

Bravo à vous 2 !!!!

Superbe WE, pas de pluie, que du bonheur dans la souffrance parce que ce n'est jamais facile LMBL. Mais tous ceux qui y ont déjà goutté l'ont dit, nous reviendrons !!!

La montagne ça nous gagne !!!!!"

 

Samedi 06 au Dimanche 07 Mars - de Golfe-Juan à Grenoble (France)

Deux cent quatre ans après le retour de Bonaparte de son exil à l’Île d’Elbe, Chilkoot rendra une nouvelle fois hommage (fin avril pour cette deuxième édition et en version« 24 Heures ») au « Vol de l’Aigle », sur son secteur le plus furtif face à une Provence méfiante, voire hostile. Une remontée s’étendant du débarquement du 1er mars 1815 à Golfe-Juan jusqu’à Grenoble, où le 8 mars 1815, Napoléon déclare : « Jusqu’à Grenoble, j’étais aventurier. À Grenoble, j’étais Prince… ».

L’arrière-pays cannois, des cols et encore des cols, des plaques commémoratives et puis des Princes du Grand Cyclisme, du Bikepacking léger en autonomie complète, de la Méditerranée jusqu’à la statue de Laffrey, jusqu’à la Porte de Bonne et la Place Notre-Dame à Grenoble…

http://chilkoot-cdp.com/project/la-napoleon/

PROGRAMME :

 

Samedi 27 avril 2019
10H00 – 11H00 : Accueil et vérifications techniques
11H30 : Départ de Golfe-Juan
Golden Cycles (Golfe-Juan) http://www.goldencycles.com/
> Secteur 1 Golfe-Juan – Malijai (160 KM / +3316 M)
https://www.strava.com/routes/11383335

 

CP : Malijai (Château)

 

Dimanche 28 avril 2019
> Secteur 2 Malijai – Grenoble (174 KM / +3219 M)
https://www.strava.com/routes/11383553
11H30-15H30 : Arrivées à Grenoble
Le Tonneau de Diogène – 6, place Notre Dame – 38000 Grenoble

Titi s'est est inscrit en formule Solo sur ce parcours de 334km et 6535m de dénivelé +.

Et il a bouclé le parcours sans problème particulier. Sa saison est lancée !!!